On l’a déjà dit, on ne parle pas de tous les albums qu’on écoute. C’est sans doute dommage pour l’exhaustivité mais la vie n’est pas extensible non plus. C’est une des raisons pour lesquelles on ne vous a pas parlé d’EUSA, l’album précédent de Yann Tiersen. Une autre raison est l’ennui compact qui s’en dégageait. Un piano solo, ce n’est pas toujours suffisant quand on ne s’appelle pas (au hasard) Niels Frahm.
Étrange évolution de carrière que celle du Breton d’ailleurs. On l’avait (…)