Toujours un plaisir de retrouver Fujiya & Miyagi. Sans tes sporadiques piqûres de rappel, j’oublierais leur existence... dans le jargon, on appelle ça le "syndrome de la belle-famille". Sans révolution, leur son s’est bien électronisé au fil du temps mais c’est leur groove qui reste aussi séduisant.
J’écoutais Picastro avant de lire ta critique et j’ai été rassuré de lire alors que Hangman t’était limite supportable, car le morceau était précisément en train de me courir sur le haricot. Le dernier titre m’a fait le même effet d’ailleurs ! Heureusement qu’il y a la reprise (…)