Sans merci
Le plus gros bobard que ces Liars pourraient inventer, ils le proféreront le jour où ils se prétendront rangés des voitures. Après quatre disques qui n’ont jamais démenti la totale insoumission présidant à leur carrière, ils reviennent en cherchant à faire croire qu’ils se sont assagis. Façon de parler : "Sisterworld" commence en effet par un gospel morbide, une complainte charognarde qui exhale le sang et l’autoflagellation, mais vous serre le corps à votre cœur défendant. Le (…)