Coussin d’air
Mine de rien, je viens d’encaisser un coup. Parce qu’en voulant retrouver le texte du premier album des Engineers, je me suis rendu compte que j’ai critiqué leur second album il y a un peu plus d’un an et que je ne m’en souvenais plus. Evidemment, avec près de 900 critiques au compteur ça peut arriver, mais c’est quand même une première pour moi.
A part stigmatiser mon vieillissement neuronal, cette introduction trop personnelle met au moins une chose en évidence : la (…)