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10 octobre 2011, par Laurent
J’aime, j’aime la vie
Dans la musique de Björk, il a toujours été question de recherche : la quête d’un équilibre parfait entre sa soif d’explorations sonores et son profond enracinement pop. Comme les deux facettes d’une personnalité schizophrène, tantôt la chanteuse a-t-elle gardé les pieds sur terre, tantôt s’est-elle laissé dominer par ses délires visionnaires. Et si sa discographie, toujours exigeante, est à peu près exempte de reproches, l’équilibre a rarement été atteint. “Debut” et “Post” : trop (...)