Trop de dithyrambes tuent la dithyrambe... Pitchfork et (une fois n’est pas coutume) les inrocks, remettent les pendules à l’heure et restent dubitatifs sur la qualité de cet album. Et je plussoie. Ce disque est un summum de prétentions : une espèce de peplum pop expérimental pour en mettre plein la vue (vous avez entendu, dites, les nouveaux instruments que j’ai créés). Oui, madame. Et ça n’apporte pas beaucoup de choses en valeur ajoutée. Que reste-t-il à l’arrivée si ce n’est une expérience sensorielle. Où sont les mélodies ? Il y a quelques arrangements de cuivres langoureux qui mettent du baume au (...)