Quand on sévit sous le pseudonyme de Mr Poulpy et qu’on arbore une coiffe rasta sur la pochette de son album, on ne prétend souvent pas émarger à la même catégorie que les bûcherons barbus au cœur sensible (en gros, une bonne partie des critiques de ce site). Et pourtant, et pourtant, Gaetan Streel, qui a officié sous son nom aquatique dans des projets plus (Piano Club, Jeronimo) ou moins (Me And My Machine) passionnants vient de nous sortir un album d’une mélancolie pop assez réjouissante. (…)