Impressionisme
Ce qu’il y a de bien avec le son de Deerhunter tel qu’il existe maintenant, c’est qu’il peut subir de petites variations sans perdre sa cohérence. C’est donc vers le sale que Bradford Cox a décidé d’aller, vers un son un peu plus crade qui finalement lui va assez bien.
Cette musique a déjà fait couler beaucoup d’encre (il n’y a pas de métaphore mise à jour pour le numérique) parce qu’elle invité à l’évocation plus qu’à la description clinique, obligeant à se creuser la tête pour trouver une (...)