Mais que fait la prolixe ?
Malgré les avis convergents (le très regretté Mmarsupilami en tête), il a fallu la collaboration avec Jon Hopkins sur l’inoubilable Diamond Mine pour que je découvre vraiment King Creosote. Conscient de ce que je pouvais manquer, il fallait que je raccroche le wagon, même si récupérer sa très dense discographie (une quarantaine de publications en 15 ans) semble compliqué.
Même la perle susmentionnée a été suivie d’un EP tout aussi excellent dont vraiment peu (…)