Il est des personnalités qui savent se rendre tout de suite familières. Le cas de la Libano-Britannique Nadine Khouri est assez frappant à cet égard. Une voix suave, toute seule ou presque sur le premier morceau et on est d’emblée captivés, captifs. Mais elle ne poursuit pas cette veine qui rappelle quelques excellents souvenirs de Dead Can Dance ou Nico et elle enchaîne avec une belle ampleur dès I Ran Thru The Dark qui monte sur des cordes soyeuses.
La voix est belle, grave et posée. (…)