A priori, on a un peu peur d’un peu d’ambition. Quand on nous cite d’emblée Tarkovski et Bioy Casares, le risque de pose littéraire est bien là. Mais d’emblée ce risque est éludé parce qu’on se rend compte que le propos est aussi digeste de la forme. Certes, on a un ton parisien un peu lassé et des métaphores mais au fil des écoutes, c’est surtout un humour à froid qui transparaît et permet de les multiplier, ces écoutes.
Il faut l’avouer, on ne connaissait pas encore ce projet sous lequel (…)