L’angle de la santé mentale n’est certainement pas le moins pertinent pour aborder la discographie de Jamie Stewart. Sans doute que cette instabilité, cette impression de danger permanent qui rend toute écoute tendue est une conséquence directe de ce simple fait, d’un mal-être qu’il n’a jamais caché mais qu’il tente de contourner.
Et un des meilleurs moyens de le contourner est la musique, ou plutôt les artistes qu’il apprécie et qui le lui rendent bien et qui peuplent ce bien délectable (…)