« Fini le jazzy, retour à la couille ». Le Français Rubin Steiner avait-il raison de proférer tel aphorisme ? Oui, au vu de la bombesque coqueluche des compilations de ce début d’année : Your life is like a Tony Conrad concert avec sa fin aux guitares semblant tout droit sorties de CAN. Oui aussi pour les jolis crescendos de Schlaffenwagonnet et ses breakbeats occasionnels. Moins pour l’introduction de Can you spell it, plus destinée à être une musique de fond pour bar branchés. Il y a (…)