On a beau tenter de les combattre, les préjugés ont la vie dure. Quand on se lance dans l’écoute d’un album qui revendique des sources festives d’Europe de l’Est et qu’on voit certaines photos de presse, on s’attend quelque chose de plus bordélique qui du reste aurait pu coller au genre. Mais d’emblée, les transitions et la puissance ne laissent aucun doute, c’est une grosse maitrise qui est à l’œuvre,
On connait depuis longtemps la mélancolie des fanfares et les possibilités (…)