Si l’oeuvre de Bright eyes ne m’était pas inconnue, je dois bien avouer que seul Digital ash in a digital urn (qui est un peu un OVNI dans la discographie) est passé à la moulinette d’une analyse. Je constate maintenant l’erreur de cette vue courte puisque c’est l’autre (I’m wide awake, it’s morning) qui était acclamé. Cet album constituant le plus gros de l’origine des morceaux du live dont il est question, le ratrappage est en vue. Amateur de folk depuis toujours, j’étais donc une victime (…)