Il était onze heures du matin, il pleuvait, on était frigorifiés, on avait dormi cinq heures. C’est dans ces circonstances que nous avons vu les Infadels, un matin d’août sous un chapiteau du Pukkelpop. Autant dire que les conditions du premier contact n’étaient pas optimales. Pourtant, l’abattage du groupe nous avait convaincu d’y prêter une oreille plus attentive quand l’occasion se présenterait. La voilà donc cette occasion, sous forme d’un premier album.
Si le concert est un déboulé (…)