C’est le dernier qui a parlé qui a raison. Si cette maxime m’a plus d’un fois plongé dans des abîmes de perplexité, il faut bien admettre qu’elle s’applique à la critique qui nous occupe. Mais foin de digressions, je m’explique. Si l’année 2005 a vu une déferlante de groupes plus ou moins cold-new-wave, l’année en cours en a vu nettement moins. Plus que les critiques de l’époque, ce sont les écoutes répétées qui ont défini la hiérarchie. Par exemple, l’album des Editors a bien mieux résisté (…)