Ce qu’il y a d’agréable dans la musique électronique, c’est mon manque de connaissance qui me permet de jeter un regard candide et de toucher aux joies simples de la découverte de terres vierges. Le temps passant, cependant, les disques s’accumulent (je ne peux pourrai plus aller à I love techno en short hawaïen) et mes préférences se marquent. L’an passé, l’album de la djette Berlinoise responsable du label bpitch (Thrills) m’avait plu. Donc, je n’ai pas hésité à me procurer ce bain à (…)