Autant ne pas tourner autour du pot, dès les premières secondes, on sent presque le tribute-band à Spain. C’est peut-être dû à un manque de références de ma part mais le même rythme, les mêmes références au bleu (Take This Blue), la même torpeur sèment le doute. Bornons-nous à préciser que le son est un rien moins froid et distant. Que de légers cuivres pointent parfois le bout du nez (So Much Time To Call My Own). Au jeu fastidieux des sept erreurs, on pointera un orgue doucereux à la Mazzy (…)