Ah, quelle femme superbe... On reconnaît bien un graphisme, un grain typiquement nineties. Et puis c’est l’époque où elle parvenait encore à être pop sans risquer de transmettre le diabète. L’utilisation intelligente du violoncelle n’y était pas étrangère. Je repense surtout à des choses plus graves comme Island, Sugar, Shaking the Doll, My Fidelity, ce genre. Dommage qu’après ça, elle ait commencé à faire de la musique souriante. J’ai horreur des gens heureux.