Statue de la liberté
Pourquoi se lancer dans une série d’écoutes d’un groupe à peu près inconnu qui a toutes les chances ne jamais mettre un orteil chez nous, qui pis est pour un album sorti il y a six mois et dans un genre qu’il m’est toujours aussi difficile d’aborder ? Voyez-y du masochisme si vous voulez, un désir brûlant d’informer ses contemporains aussi, mais il y a toujours une gratification au bout du chemin. Car si l’album est mauvais, il y a même des chances qu’il ne se fraye (…)