Aborder une chronique d’un album non seulement récent mais de plus ’hype’ est un exercice périlleux à plus d’un titre : Et si je me laissais emporter par la mode ? Cet article survivra-t-il à l’année ? Dans ce cas, me direz-vous, je pourrais aussi bien l’enlever du site (approche par la toute-puissance webmasterienne) ou encore le garder comme exemple de manque de discernement (approche plus sadomasochiste). Mais bon voilà : les ingrédients de cet album comprennent à la fois ce qui réjouit (…)