On prend les mêmes et on recommence. La plage titulaire est conforme aux albums précédents et sonne comme un hymne hédoniste mais c’est après que ça change. On est ici emportés plus loin dans l’électronique (Jaloux). Pas de balade en vue, rien que du fort, du dansant.à la limite, la musique seule suffirait. On a donc un ’plus’ humain qui n’est pas de trop dans le monde de la nuit. Mais c’est surtout sur deux titres que le mélange prend, Noir désir et KL. Le premier est simplement irrésistible (si ça ne (...)