En réponse à :
23 décembre 2008, par Paulo
The Tobin Replica
Résumons, j’avais déjà introduit le travail de Frank Riggio dans la critique de son premier album Visible In Darkness l’année dernière, et tenté de décrire son univers, de pister ses influences parmi les Cinematic Orchestra, Bonobo, DJ shadow, et bien évidemment Amon Tobin.
Si ce premier album marquait encore une certaine distance avec ce dernier, force est de constater que, cette fois, l’approche de Riggio a été de "calquer" son travail sur l’oeuvre de Tobin.
Et (…)