Electrifions
Second jour pour ces Ardentes, plus précisément placé sous le signe de l’électronique.
C’est pourtant par les brittons de The Rakes que les hostilités commencent. Et leur post-punk tendu peut servir de très éfficace échauffement. Mais la scène lisse un peu la tension du groupe qui joue d’une attitude et d’un accent cockney avec un certain bonheur. On en sort donc avec une impression un peu mitigée.
C’est Fabrice Lig qui officie dans l’Aquarium (la plus petite des salles (…)