Pas la porte d’entrée idéale
La dernière fois qu’on a entendu parler de Silver Mount Zion (le nom aux mille variations), c’était en backing band du formidable album de Vic Chesnutt qui nous manque déjà cruellement.
Ils lancent les hostilités franco de port avec un morceau de plus d’un quart d’heure qui ménage son lot de spectacle. Dans leur style le plus habituel. Arpèges lents, voix éraillée, violons en soutien pour commencer. Et on est chez soi, et content d’y être parce que ce début (…)