Maitrise de la lenteur
Cette année, les Nuits Botanique ne furent pas spécialement copieuses. Dans la quantité du moins, parce que je n’ai pas été déçu par mes déplacements. Même dans une salle qu’on fréquente comme le Botanique, il existe des recoins qu’on n’avait pas encore vus (du moins, pas pour des concerts). C’est donc avec curiosité qu’on s’assied dans la salle du Musée, plus intime par les places assises, mais finalement pas trop adaptée pour les concerts, beaucoup de places étant (…)