En réponse à :
7 novembre 2012, par marc
Joie bilingue
Chanter en français est un acte militant, un risque assumé, celui de ne jamais dépasser les frontières d’une entité linguistique finalement limitée. De plus, la tradition française est assez lourde à ce propos, et ceux qui arrivent à exceller dans le fond et la forme ne sont pas légion. Les québécois ne subissent pas cette charge, et sont arrivés à une forme assez personnelle, et on reconnait tout de suite un groupe de la belle province comme Malajube ou Karkwa grâce à la (…)