Il faut du temps pour vraiment se rendre compte de ce qu’il reste d’un album. Ainsi, on garde encore en mémoire la ligne de basse de Lightweight sorti il y a deux ans et demi et on apprécie d’en retrouve l’écho sur Salento. Coffee or Not ne nous avait donc pas vraiment quitté.
C’est sa voix à lui qui entame les hostilités, sur un tapis sonore plutôt dépouillé. Mais on le devine et on s’en rend compte bien vite, c’est un échauffement. Les choses sérieuses commencent avec la conjonction (…)