Je trouve que divers morceaux sur cette anthologie hybride surpassent les versions originales ; bien sûr, c’est valable pour les morceaux plus récents et non pour les grands classiques cités. Sauf erreur, c’est le collaborateur récurrent Ólafur Jákupsson qui pose son flow sur Chapter 19. À titre anecdotique, c’est en me ré-enthousiasmant à l’écoute de ce "Portrait" que je me suis replongé dans la disco "bretonne" de Yann Tiersen, qui m’avait un peu perdu ces dernières années. À tort, comme il l’affirme de belle façon ici.