Délivrer l’humanité
Dans un commentaire récent, j’osais suggérer qu’il était peut-être temps d’arrêter d’écouter de l’indie-rock, ce genre aux contours flous et au son de plus en plus gâteux. Je ne plaisantais qu’à moitié : nous sommes en 2010 et, au terme d’une décennie de bons et loyaux services, force est de constater que les deux tendances majeures des dix dernières années – le retour du rock à guitares binaire grâce aux Strokes et aux White Stripes, les foutoirs organisés popularisés (…)