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22 juin 2011, par marc
Mélange fondant
D’un concert de Soap & Skin, nous avons ramené deux choses. Le souvenir d’une prestation d’une intensité inouïe tout d’abord. Et puis le nom d’un artiste qui assurait la première partie avec brio. Depuis, Fin Greenall a gardé sa place dans nos cœurs et nos oreilles, organes étrangement proches parfois.
La voix, le ton, le détachement, l’enrichissement subtil de la formule guitare/voix, c’est un peu tout ce qu’on aime chez lui et on le retrouve ici. En moins langoureux peut-être, en (...)