En terminant l’année à rattraper des albums tous décevants, on se demandait ce qui peut pousser des amateurs comme nous à écouter encore et toujours.
On remettait donc un peu de ces espoirs déçus sur Bloc Party, sur foi d’un bon concert (Au Pukkelpop) et d’un emballant premier EP (Banquet).
Par pessimisme ordinaire, on craint le pire. Et paf, premier morceau (Eating glass) qui claque comme le Cure post-punk de Three imaginary boys avec cette touche un peu dansante qui marque cette époque (…)