Si mes souvenirs sont bons, ’vagina lips’ est un truc qui n’existe pas en vrai anglais (on dit labias, non ?) mais c’est le pseudonyme pas nécessairement classe qu’a choisi le Grec Jimmy Polioudis pour nous livrer un album qui fusionne deux pans de musique qui nous sont particulièrement chers.
D’un côté, il y a un post-punk fiévreux, des sons de boite à rythme qui rappellent les Joy Division hors d’âge. On les retrouve du côté de Boy June (promis, ce n’est pas un morceau d’Indochine…) qui (…)