Je vois, ou plutôt j’entends ce que tu veux dire. En effet, le retour des vieux synthés nourrit généralement des choses moins amples, plus serrées. Ici, cet espace qui pénètre mieux la musique est certes bienvenu, mais je ne peux m’empêcher d’imaginer malgré tout de vieilles B.O. de série B à la Miles Goodman (Footloose, Teen Wolf...). Et du coup, le problème vient du manque d’images ; je trouve que ça marcherait parfaitement dans un film un peu arty de type coming-of-age, mais sans l’accompagnement il y a un côté plus fugitif. J’ai pas vraiment imprimé (hormis les deux titres un peu plus (...)