Ben voilà, j’étais passé complètement à côté de celui-ci. C’est ça le plaisir de découvrir de nouveaux sites et donc de nouvelles listes et autres "Top of the Pop".
Je conserve une préférence pour El Perro Del Mar. Mais, bon, je sais pourquoi. L’ambiance et l’orchestration de celui-ci sont beaucoup moins dans mon rayon que les références de Sarah Assbring.
Ce qui est fascinant dans cet album est que Frida Hyvönen est continuellement au bord du précipice du gros bonbon hollywoodien, du piano et des violons dégoulinants. Et, jamais, elle ne trébuche et ne chûte dans le "too much". Belle maîtrise dans (...)