L’Angleterre essaie parfois de nous convaincre que nous sommes dans un monde qui n’a pas changé : L’Europe n’existe pas et les arrangements surannés font la loi. On n’en tiendra pour une fois pas trop rigueur aux sujets de sa gracieuse majesté si les références au passé sont celles de Divine Comedy.
Revenu au premier plan après des albums plus ’ambiance d’ascenseur’ (A short album about love et Casanova), le souffle entrevu sur Promenade semble être revenu à Neil Hannon, comme le confirmait par exemple (...)