Branchons la prise
Il y a des certitudes qui n’ont jamais souffert la contradiction. L’intensité de David E Edwards par exemple. Après 8 albums de 16 Horsepower et 6 de Wovenhand, on ne peut plus vraiment être surpris. Ou du moins, c’est ce qu’on croit. Pourtant, ce Laughing Stalk peut se vanter de nous avoir un peu sortis de nos certitudes.
Impossible de se tromper, ceci est bien un album de Wovenhand pur jus, avec une couleur propre, assez peu de variations d’un morceau à l’autre. (…)