Comme pour la navigation aérienne, la lenteur est une des choses les plus compliquées à réussir. Même des groupes émouvants comme les Tindersticks s’évaporent sans une vitesse minimale. Je n’avais jamais entendu parler The Wite Birch, sans doute parce que la formation norvégienne n’avait plus rien publié depuis 2006 mais le groupe formé autour d’Ola Fløttum vient de prouver qu’il est un des maitres de l’intensité qui n’a pas besoin de fureur.
Il ne faut pas grand-chose à à New York pour nous mettre dans le (...)